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Orange a présenté en juillet dernier la toute première liste de communes qui devront faire l’objet d’une fermeture technique du réseau cuvire dans les deux prochaines années. Ce lot 1 fait l’objet d’une concertation a priori non achevée à l’heure où nous écrivons ces lignes, puisque la liste définitive n’est toujours pas officiellement connue. Or, la montée en puissance du dispositf se doit d’être rapide.

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Les expérimentations ont confirmé ce que tout le monde supposait depuis le début : la communication est essentielle pour réussir la fermeture du cuivre.

Mais quelle communication ? Celle d’Orange, dont c’est le projet à la base ? Celle des opérateurs commerciaux, puisque ce sont leurs clients qui vont devoir changer de technologie d’accès ? Celle de la puissance publique, puisque chaque citoyen, chaque administration, chaque entreprise seront concernés ?

Si la connectivité des entreprises françaises progresse réellement, passant de 32% en 2020 à 50% en 2022, cette croissance essentiellement due aux confinements successifs n’en demeure pas moins insuffisante.

C’est « un sujet immense et complexe » a reconnu Bernard Pillefer, le président du SMO Val de Loire Numérique, en ouverture d’une journée dédiée au « Smart », ce 4 octobre 2022 à Vineuil (agglomération de Blois).  Environ 80 élus locaux se sont réunis pour l’occasion autour d’une question : « comment appréhender la transition numérique de nos collectivités et faire de nos territoires des territoires intelligents, durables et connectés ? » Pour y répondre, le syndicat mixte a proposé une conférence sur « les enjeux des territoires intelligent